Loading

Quel est votre tabou sexuel ?

En matière de sexe, nous avons tous des tabous qui nous empêchent d’être totalement à l’aise sous la couette. Toutefois, nous nous faisons des fausses idées sur des pratiques sexuelles que l’on ne connaît pas encore, et cela créé des tabous sexuels persistants. Mais qui décide de ce qu’on a le droit de dire ou de faire en société ? Les religions, la morale, la loi ? Et vous, quel est votre tabou sexuel ? Vous êtes du genre à les transgresser ou à vous y soumettre ?

Les tabous sexuels, c’est quoi ?

Généralement, le tabou désigne un interdit « sacré », dont la transgression est susceptible d’entraîner un châtiment surnaturel. C’est le genre de sujet qui gêne, que l’on ne doive pas parler publiquement ou à haute voix. Pendant longtemps, la religion a dicté ce qui était bien ou mal dans la sexualité. Au fur et à mesure que le temps passe, la religion s’efface et les actes sexuels sont de plus en plus considérés comme appropriés. Mais, la société soutient tout de même certains tabous. Certaines pratiques sont clairement condamnées, interdites et réfutées par la morale (par exemple, l’inceste). De toute évidence, certains actes sexuels sont collectivement acceptés, mais elles demeurent taboues parce qu’il est « interdit » d’en parler publiquement.

Identifiez ses tabous

Nous avons tous des tabous qui freinent notre épanouissement sexuel. Que ce soit à cause de notre éducation, de notre religion, de nos idées reçues sur la sexualité ou encore par habitude, chaque personne peut créer son propre tabou. Lorsqu’on est en couple, exprimer librement sa libido apporte vraiment une source de plaisir et d’épanouissement. Dans ce cas, il faut identifier ses tabous, surtout avec son partenaire.

L’inceste ou la pédophilie sont des interdits fondateurs et heureusement intouchables. D’autres tabous comme la sodomie, la masturbation, la fellation, l’échangisme ou l’homosexualité par exemple, peuvent être interdits par des interdits personnels ou religieux. Pourtant, beaucoup pratiques ces derniers sans pour autant avoir l’impression de transgresser un interdit. Quoi qu’il en soit, rien ne vous oblige à les pratiquer si vous n’en avez pas envie.

Lâchez-vous prise

Même si certains sujets de sexualité sont délimités par les lois et les religieux, il faut savoir lâcher prise et prendre du temps pour découvrir ce qui nous fait vraiment plaisir. En couple par exemple, vous avez déjà essayé différentes positions et différents scénarios, mais avez-vous déjà parlé ouvertement de ce que vous n’avez encore jamais essayé, mais que vous rêvez pourtant d’essayer ?

En effet, ce dialogue franc fera certainement sauter quelques tabous cognitifs, et le fait d’essayer ces choses en vrai améliorera sûrement votre rapport au sexe. La curiosité et l’envie de se surprendre dans un lieu nouveau, seule ou avec des partenaires, aident à dépasser ses tabous. Ainsi, il faut se débarrasser de ses peurs, de ses pudeurs et de ses a priori afin d’écouter ses propres désirs.

Quelques pratiques sexuelles taboues

Aujourd’hui, certains termes ne sont plus tabous. Très longtemps considérés comme des pratiques plus ou moins honteuses, les tabous sont devenus de plus en plus assumés. Voici les plus populaires des pratiques sexuelles.

La masturbation s’est largement démocratisée notamment grâce à l’émergence des sex-toys. Ils prennent toutes les formes et toutes les couleurs pour en devenir au fil des années un accessoire tout particulièrement tendance. Avant, si la masturbation masculine ne présente aucun tabou, ce n’est pas le cas de la masturbation féminine. Celle-ci demeure une affaire strictement intime pour bien d’autre femme. Pour les hommes qui cherchent à libérer ses fantasmes, il y a aussi les filles escortes, comme sur ce site, https://www.fgirl.ch/filles/neuchatel/ qui propose désormais d’un massage sensuel, massage érotique ou encore d’un service VIP.

Quant à la fellation, au cunnilingus, et la sodomie, nombreuses sont les magazines féminins et de forums qui n’hésitent pas à en parler ouvertement. Certaines personnes raffolent de la sodomie et n’y voient aucun tabou. D’autres le trouvent comme une position gênante, et ont peur d’avoir mal.

Visionner de la pornographie est un tabou persistant. Alors que son industrie fait un milliard de dollars chaque année, pourtant, personne n’avoue en visionner… De toute évidence, elle est présente pour alimenter l’imaginaire érotique et les fantasmes.